À quelques semaines de la sortie de son premier album « Sauvage », Sophie Tapie a répondu à mes questions.

A l’occasion de son premier single « Des milliards de petits corps », qui amorce son premier album « Sauvage » qui sera disponible le 8 juin, Sophie Tapie s’est prêtée au jeu de l’interview pour répondre à mes questions.

Bonjour Sophie, tu t’apprêtes à sortir ton premier album « Sauvage » dont nous allons parler, mais tout d’abord, comment vas-tu?

Je ne peux pas aller mieux, je suis dans un champ avec ma jument qui a donné la vie il y a trois jours et je viens de faire la rencontre de mon petit poulain de cette année.

J’aime énormément les animaux, ils peuvent être nos enfants sans l’être (sourire)

Mes animaux sont les amours de ma vie.

Nous avons appris à te connaître lors de la seconde saison de The Voice », quel souvenir gardes-tu de cette aventure?

C’est une très belle aventure et c’est grâce à ce moment que tout a commencé, donc j’en garde un très bon souvenir.

Que s’est-il passé entre la fin de « The Voice » et le début de ta carrière solo?

Il y a surtout eu mon départ pour le Québec et ma signature avec Vega Musique qui est un label québécois. Ils m’ont fait confiance et c’est grâce à eux que j’ai pu faire mon premier album.

Pourquoi vouloir partir au Québec?

Le premier label qui a voulu me signer est québécois et m’a repéré sur The Voice, d’où la raison de mon départ. J’étais parti pour ça et aussi, car mon style musical de prédilection est la country et le folk qui sont très répandus en Amérique du Nord. C’était plus simple pour moi de créer mon album autour de mon univers là-bas plutôt qu’en France.

Ton premier single « Des milliards de petits corps » commence à tourner en radio, peux-tu nous le présenter?

C’est un titre qui compte beaucoup pour moi, car c’est d’abord une prise de conscience. Tout a commencé quand je suis rentré chez moi l’été après une soirée ou j’ai allumé la télé. J’étais tombé sur une chaîne d’information où il y a eu beaucoup d’images de guerre, d’enfants ayant perdu leurs parents etc. Après avoir vu cette misère, je me suis dit que c’était injuste, car moi, j’étais quelques heures auparavant, super heureuse avec mes amis et que l’on ne parle pas assez de tout ce qui se passe autour de nous. C’est toujours quand il y a de grandes catastrophes comme le Népal en ce moment, que ça fait la Une des journaux, alors que la misère est partout et quotidienne. C’était une prise de conscience de ma part et j’ai voulu partager ça avec les gens.

Cet article a été rédigé en premier sur l’ancien site de Music Shaker. Pour voir l’article complet, cliquez sur le lien suivant : Rencontre avec Sophie Tapie

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