Quelques mois après la sortie de son troisième album « Roma California », Davide Esposito a répondu à mes questions.

avide Esposito a répondu à mes questions pou revenir sur son troisième album « Roma California », son actualité et son parcours. Découverte d’un homme très sympathique.

Bonjour Davide, nous allons parler de votre troisième album « Roma California », mais tout d’abord, comment allez-vous?

Je vais bien merci.

Vous avez publié votre nouvel album « Roma California » où vous reprenez des vieux standards en Italien, d’où est née cette idée?

Cette idée vient d’une rencontre que j’ai faite il y a deux ans, j’ai fait la première partie de Christopher Cross . On avait échangé, on s’était bien entendu et on s’est dit que nous pourrions faire un truc ensemble. J’ai avancé et fais une adaptation de « Sailing » (1980), sa ballade de l’époque. Je lui ai envoyé cette nouvelle version qu’il a adoré.Il m’a dit que si je voulais l’enregistrer, il n’y avait pas de soucis. À partir de là, je me suis dit que ça pouvait être une bonne idée de faire ça avec d’autres titres et d’en faire un album.

Est-ce vous qui avez choisi tous les titres?

Oui, j’ai fait le tri car je possédais au moins 30 chansons. J’ai choisi en fonction des adaptations qui me correspondaient le mieux et y donner ma touche la plus personnelle. Pour chaque chanson, il m’a fallu demander des droits d’adaptation et quand c’était ok, je pouvais les enregistrer.

Le classeriez-vous parmi les albums de reprises?

Non, car le concept est un peu différent. Dans un album de reprises, la chanson est rechantée comme dans sa version originale, là, c’est vraiment un « effort » de vouloir donner une version différente. J’ai adapté les titres en langue Italiennes tout en m’occupant également des arrangements. Cela donne un mélange avec une partie de Californie et d’Italie.

L’avez-vous enregistré en Californie ou en Italie?

L’album a été enregistré entre l’Italie, la France et la Californie. On a un peu respecté ça à travers les clips que nous avons tournés entre l’Italie et la Californie.

N’était-ce pas risqué de réadapter de très grands tubes comme « Hotel California » ou « California Dreaming »?

C’était risqué, en effet. La chose la plus encourageante, c’est quand les Eagles ou d’autres écoutent et disent que c’est bien. C’est tout de suite une bonne motivation car s’ils ne sont pas pour, on ne peut pas le faire. Après, il y a aussi un bon accueil du public et des autres artistes que j’ai croisé en promo. J’ai eu des avis très positifs, forcément, il y a des puristes qui étaient contre, mais nous avons une certaine liberté dans la musique et on a avancé quand même.

Cet article a été rédigé en premier sur l’ancien site de Music Shaker. Pour voir l’article complet, cliquez sur le lien suivant : Rencontre avec Davide Esposito

Facebook 0 Linkedin 0 Mail